Petite histoire du québécisme siffleux
Dans ses écrits, le père Le Jeune indique avoir entendu des autochtones nommer la marmotte Ouinascou, un nom innu que l’on orthographie aujourd’hui uinashkᵘ. Ce mot est composé avec le morphème uin-, qui rapporte à l’idée de saleté, les terriers de la marmotte étant réputés malodorants dans certaines cultures autochtones. Notons qu’en innu, le mois
La suite de cet article est réservée à nos abonnés. Pour la consulter, veuillez souscrire à un abonnement.
Partagez
[TheChamp-Sharing]