Le mot de la présidente, bilan annuel
Souvent marquée par l’inquiétude, l’année qui vient de s’écouler a transformé nos vies. Il a fallu constamment « réinventer » une autre manière de travailler, tant pour le personnel de bureau que pour nos camelots. Je saisis l’occasion ici pour saluer les efforts de toutes les personnes concernées.
Au premier plan, je tiens à louanger le travail de notre directrice et éditrice qui a tenu le gouvernail de main de maître. Tant de responsabilités reposent habituellement sur les épaules de Nancy Mongeau au quotidien, mais la tâche a été décuplée pendant la pandémie. Elle a fait preuve de diligence, s’est acquittée de ses dossiers, s’est dépatouillée avec les programmes gouvernementaux, a réorganisé le travail de bureau, a veillé à la sécurité du personnel et des camelots. Nancy, nous te devons une fière chandelle pour avoir mené à bien notre bateau!
Toute ma reconnaissance va aussi à l’équipe qui entoure les camelots. Merci à Karine, à Moïka et à Greg pour votre bienveillance, pour votre engagement. En présence ou à distance, vous avez fait l’impossible afin que le quotidien des camelots soit plus rassurant en dépit des vents contraires.
Malgré les circonstances difficiles, c’est grâce à l’implication de chaque membre du comité de production que nous avons pu éditer notre périodique aux dates prévues – et ce, même si nous ne pouvions mettre en vente certains numéros du Journal de rue puisque les commerces avaient fermé leurs portes suite aux consignes des autorités publiques. Grand merci à cette équipe citoyenne de ne pas avoir quitté le navire.
Et bravo aussi à nos fidèles camelots qui, peu à peu, sont revenus au travail. Je sais que cette période a été éprouvante pour plusieurs. Mais vous avez tenu bon, vous avez traversé toutes ces vagues et je vous admire pour votre courage.
À tous les membres du conseil d’administration, toute ma reconnaissance pour votre implication sociale. C’est ensemble que nous remplissons notre mission, surtout quand le temps est agité …